Les troubles anxieux représentent une pathologie psychique qui a un impact significatif sur la vie quotidienne d'une personne. Les troubles anxieux englobent...
Maigrir par l'Hypnose Ericksonienne
Les troubles anxieux représentent une pathologie psychique qui a un impact significatif sur la vie quotidienne d'une personne. Les troubles anxieux englobent...
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Des scènes de violence ont eu lieu lors du match de l’euro qui se déroulait à Marseille. Ces scènes interrogent sur la notion de violence. Les rapports de violence à la fois physique et verbale se manifestent à tous les âges, davantage chez les hommes que chez les femmes et est multipliée sous l’emprise de l’alcool.
La violence se manifeste sous forme de passages à l’acte visant à détruire, une personne physiquement, psychologiquement ou sexuellement.
Le but est d’humilier, de dominer, de marquer son pouvoir, de créer un climat de peur et de blesser l’autre.
Les différents actes de violence montrent les risques encourus par les victimes:
A ces conséquences peuvent s’ajouter des conduites ordaliques (à risque) ou un glissement vers des conduites addictives (alcool, drogues).
Depuis quelques années, les scènes de violence et de vandalisme dans ou à l’extérieur des stades prennent de plus en plus d’ampleur. Certains supporters parfois désinhibés par l’alcool mêlé à la passion envers leur équipe favorite se déchainent et passent sauvagement à l’acte si un coup des sifflet leur semble mal adapté.
Unis au groupe des supporters et soumis à l’effet de foule, il suffit d’un moment où le jeu ne se déroule pas comme ils l’espéraient pour qu’ils s’adonnent à l’occasion d’évacuer leur agressivité. En parallèle à la violence sur le terrain se manifeste la violence sur les gradins. Freud parle de pulsion d’agression. La passion et l‘enthousiasme dévie vers la violence et l’insécurité.
D’autres, tels que les hooligans emplis de violence préméditée viennent dans le but de casser les biens publics, d’effrayer les spectateurs et de les agresser.
La violence qui s’exprime sur les stades peut hélas se retrouver dans certains couples…
Parfois, lors d’une dispute, il arrive que l’un des membres du couple (le plus souvent l’homme) n’arrive pas à contenir sa violence.
Les agresseurs sont souvent des personnes qui ne savent pas limiter leurs émotions, leur agressivité, leurs mots ou leurs actes, ce qui peut très vite être repéré par la (le) partenaire.
Ces tentatives de justification ne font qu’embrouiller la compréhension et désorienter la victime qui n’arrive pas à décider si elle doit accepter ou se protéger.
Si elles osent en parler à une personne capable de la conseiller ou si elles ne cèdent pas à la peur de l’autre, elles arrivent à porter plainte.
Mais parfois, elles minimisent, regrettent ou veulent donner une autre chance à leur couple et retirent leurs plaintes.
Il arrive également que par peur de son compagnon, de ne pas arriver à s’assumer économiquement (ce qui n’est pas toujours le cas) ou afin de protéger les enfants, elles n’arrivent pas à trancher sur le fait de partir ou pas de la maison.
L’on parle de violence sexuelle quand le partenaire impose un rapport sexuel par la violence, un viol…
Si la victime se sait contrainte ou en danger, elle doit s’éloigner de son conjoint afin de se protéger.
Rien ne peut légitimer la violence.
La victime n’est pas coupable mais l’agresseur est responsable de ses actes. La violence est un délit punissable par la loi.
Si elle hésite, consulter un psychothérapeute est la première solution qui pourra lui permettre d’exprimer ses souffrances et de voir plus clairement sa situation. Avec l’aide de la psychothérapie, elle réalisera le piège qui l’immobilise. Et ce n’est qu’après avoir repris confiance en elle, qu’elle pourra reprendre une place de personne indépendante, responsable et adulte. Seulement après, elle pourra trancher et éventuellement consulter en couple si elle le désire.