Les troubles anxieux représentent une pathologie psychique qui a un impact significatif sur la vie quotidienne d'une personne. Les troubles anxieux englobent...
HYPNOSE ET INSOMNIE
Les troubles anxieux représentent une pathologie psychique qui a un impact significatif sur la vie quotidienne d'une personne. Les troubles anxieux englobent...
N°ADELI: 75 93 08 976
« Si l'on n'apprend pas à contrôler notre cerveau, c'est lui qui nous contrôle ! » Kevin Finel
L’anxiété, le stress, l’ennui, la boulimie, l’anorexie ou la dépression conduisent à des compulsions alimentaires ou à des grignotages. Certaines personnes jettent principalement leur dévolu sur du sucré ou du chocolat.
Manger du chocolat peut-être un véritable plaisir, c’est ce que nous vante les publicité en associant plaisir et sucrerie. Cependant, si l’on abuse de ce plaisir et que l’on renouvelle cette prise de chocolat à plusieurs moments de la journée, cela nuit à notre santé et risque de nous conduire vers de véritables addictions. Nous savons que de nombreuses personnes préfèrent manger un gâteau ou une barre de chocolat à la place d’un repas, et souffre ensuite d’un surpoids et d’une forte culpabilité, génératrice d’anxiété… qui fait manger.
Le désir de consommer du chocolat est engendré par la découverte d’un nouveau produit, d’un nouveau goût, un besoin de douceur ou par un manque affectif récent (deuil, séparation) ou qui remonte à l’enfance (carence affective, manque de sécurité)... Une réponse physiologique telle que la sécrétion d’endorphine, perçue par le cerveau comme une récompense, provoque le désir d’en consommer encore. C’est alors le cerveau qui réclame le chocolat !
Il n’est pas facile alors de résister au désir de manger du chocolat ou des sucreries, parfois jusqu’à en perdre le contrôle et de se rendre malade. Dans ce cas, le comportement dépasse la volonté du consommateur, qui pourtant a conscience des risques liés à l’abus. Et comme pour toute autre addiction (tabac, cannabis), s’installe un besoin irrépressible et une augmentation progressive des doses.
C’est le cas pour les adolescents qui s’ennuyant en dehors des cours, restent de longues heures devant la télévision ou internet en mangeant des paquets de chips et de sucreries.
Ce même ennui existe chez des personnes adultes, angoissées de rentrer chez elles le soir et de se retrouver seules. Supportant mal cette solitude, elles remplissent le vide par des confiseries ou du chocolat, parfois accompagnés d’alcool.
Ces prises de chocolat ou de sucrerie peuvent arriver à n’importe quel moment de la journée et certaines personnes se lèvent même la nuit pour manger. La nourriture est engloutie avec rapidité et dans une quantité irraisonnable.
Les conséquences sur le poids et la santé de la personne deviennent flagrantes et peuvent entrainer des pathologies importantes telles que des reflux gastro-oesophagien ou du diabète.
Ces comportements sont souvent qualifiés par l’entourage de gourmandise alors qu’un réel problème affectif les sous-tend. Ils sont en lien avec l’histoire de vie de la personne, son manque de confiance en elle, sa situation sociale, professionnelle, relationnelle ou personnelle et une mauvaise gestion de ses émotions.
En mangeant sucré, la personne en souffrance, a le fantasme de combler des manques en elle, comme le manque d’affection, de présence, d’attention, d’importance ou d’amour. Le problème est plus relationnel, émotionnel et intrapsychique, qu’alimentaire.
Après un premier entretien permettant de définir l’origine des compulsions ou des addictions, en ma qualité de psychothérapeute et hypnothérapeute, j’établis un traitement adapté à la personne :
De nombreux témoignages montrent que lorsque l’on est prêt (e) à maigrir et à faire la démarche auprès d’un spécialiste, l’on peut retrouver son poids idéal et d’une façon durable.
L’été arrive et c’est le moment de vous sentir à l’aise avec vous même, de mettre les vêtements dont vous rêvez, de vous faire plaisir et de faire plaisir à votre entourage.